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Programmes en tournée
Dans les yeux d'Audrey
La compagnie François Mauduit présente une originale évocation chorégraphique inspirée de l’actrice Audrey Hepburn.
François Mauduit, ancien soliste de Maurice Béjart, entouré de 16 danseurs internationaux* retrace les moments clés de la vie de l’iconique Audrey Hepburn entre élégance, légèreté et mélancolie.
Née en 1929 à Bruxelles, Audrey Hepburn est abandonnée par son père à l’âge de 6 ans. Dans le pensionnat anglais où elle est envoyée, la petite fille se réfugie dans la danse classique. Cependant les privations pendant la guerre l’affaiblissent considérablement , l’éloignant petit à petit de son rêve de devenir danseuse. Dans les années 1950, à Londres, elle joue principalement dans des pièces de théâtre et des comédies musicales. Rapidement elle attire l’attention de l’industrie du cinéma et elle décroche son premier grand rôle dans le film “Vacances romaines” en 1953. Ce film lui a valu un Oscar de la meilleure actrice, lançant sa carrière internationale. Audrey Hepburn crève l’écran dans de nombreux films à succès: “Sabrina “, “My Fair Lady”, et le cultissime “Breakfast at Tiffany’s”. Elle devient l’une des plus grandes icônes de l’âge d’or du cinéma hollywoodien, recoonue pour son charme, sa grâce et son élégance, et sa capacité à captiver le public avec son jeu d’acteur naturel et émouvant.
A partir de 1970, à l’apogée de sa carrière, Audrey Hepburn prend volontairement la décision de s’éloigner des plateaux de cinéma afin de se consacrer à ses enfants et s’implique dans l’humanitaire. Nommée Ambassadrice de bonne volonté à l’Unicef, dès lors, elle va sillonner le monde au service des enfants du Tiers Monde.
Aujourd’hui, Audrey Hepburn est toujours considérée comme l’une des plus grandes actrices de tous les temps et sa beauté intemporelle continue d’influencer la mode et le monde du cinéma
Ballet pour 16 danseurs librement inspiré de la vie d’Audrey Hepburn
François Mauduit | chorégraphie et mise en scène
Compagnie François Mauduit
François Mauduit, ancien soliste de Maurice Béjart, entouré de 16 danseurs internationaux* retrace les moments clés de la vie de l’iconique Audrey Hepburn entre élégance, légèreté et mélancolie.
Née en 1929 à Bruxelles, Audrey Hepburn est abandonnée par son père à l’âge de 6 ans. Dans le pensionnat anglais où elle est envoyée, la petite fille se réfugie dans la danse classique. Cependant les privations pendant la guerre l’affaiblissent considérablement , l’éloignant petit à petit de son rêve de devenir danseuse. Dans les années 1950, à Londres, elle joue principalement dans des pièces de théâtre et des comédies musicales. Rapidement elle attire l’attention de l’industrie du cinéma et elle décroche son premier grand rôle dans le film “Vacances romaines” en 1953. Ce film lui a valu un Oscar de la meilleure actrice, lançant sa carrière internationale. Audrey Hepburn crève l’écran dans de nombreux films à succès: “Sabrina “, “My Fair Lady”, et le cultissime “Breakfast at Tiffany’s”. Elle devient l’une des plus grandes icônes de l’âge d’or du cinéma hollywoodien, recoonue pour son charme, sa grâce et son élégance, et sa capacité à captiver le public avec son jeu d’acteur naturel et émouvant.
A partir de 1970, à l’apogée de sa carrière, Audrey Hepburn prend volontairement la décision de s’éloigner des plateaux de cinéma afin de se consacrer à ses enfants et s’implique dans l’humanitaire. Nommée Ambassadrice de bonne volonté à l’Unicef, dès lors, elle va sillonner le monde au service des enfants du Tiers Monde.
Aujourd’hui, Audrey Hepburn est toujours considérée comme l’une des plus grandes actrices de tous les temps et sa beauté intemporelle continue d’influencer la mode et le monde du cinéma
Ballet pour 16 danseurs librement inspiré de la vie d’Audrey Hepburn
François Mauduit | chorégraphie et mise en scène
Compagnie François Mauduit
Carmina Burana
Musique Carl Off
Ajouts musicaux : Jean Sébastien Bach, Léo Delibes, Camille Saint Saëns, Antonio Vivaldi,
Chorégraphie François Mauduit (2023)
C'est en 1803 que fut retrouvé dans le couvent de bénédictins de Buren, en haute Bavière, un manuscrit anonyme. Les auteurs en sont des poètes vagabonds des XIIe et XIIIe siècles qui écrivaient en latin, en vieux français et en vieil allemand des textes chargés d'une révolte juvénile, violente et parodique. Chants de louange au printemps, invocation au destin, à la rencontre de l'homme avec la nature, éloge de l'amour et enfin railleries et bruyantes chansons à boire, témoignage de la révolte de la jeunesse contre le monde durement organisé de la société médiévale. Ces chants de voyageurs reflètent dans une langue impulsive, parfois rude et osée, une conception caractéristique du Moyen Age germanique, fortement revendicatrice et cependant fataliste de l'existence dominée par l'implacable roue du destin.
Carl Orff s'en inspirera pour donner naissance à ses « Carmina burana ». Il ne s'agit pas là d'une simple mise en musique des textes profanes du manuscrit de Buren mais de l’évocation dramatique, sous forme de tableaux thématiques, d'une énergie originelle vitale dont le centre est l'homme et le destin impénétrable qui le tient, lumineux et magique. Comme une prière, comme une réunion mystique où l’on côtoie les Dieux, Vivaldi, St Saëns, Delibes Bach viendront se mélanger à ces divagations pleines d’énergies vitales et de pensées spirituelles, insufflées par le mouvement de la danse.
Ajouts musicaux : Jean Sébastien Bach, Léo Delibes, Camille Saint Saëns, Antonio Vivaldi,
Chorégraphie François Mauduit (2023)
C'est en 1803 que fut retrouvé dans le couvent de bénédictins de Buren, en haute Bavière, un manuscrit anonyme. Les auteurs en sont des poètes vagabonds des XIIe et XIIIe siècles qui écrivaient en latin, en vieux français et en vieil allemand des textes chargés d'une révolte juvénile, violente et parodique. Chants de louange au printemps, invocation au destin, à la rencontre de l'homme avec la nature, éloge de l'amour et enfin railleries et bruyantes chansons à boire, témoignage de la révolte de la jeunesse contre le monde durement organisé de la société médiévale. Ces chants de voyageurs reflètent dans une langue impulsive, parfois rude et osée, une conception caractéristique du Moyen Age germanique, fortement revendicatrice et cependant fataliste de l'existence dominée par l'implacable roue du destin.
Carl Orff s'en inspirera pour donner naissance à ses « Carmina burana ». Il ne s'agit pas là d'une simple mise en musique des textes profanes du manuscrit de Buren mais de l’évocation dramatique, sous forme de tableaux thématiques, d'une énergie originelle vitale dont le centre est l'homme et le destin impénétrable qui le tient, lumineux et magique. Comme une prière, comme une réunion mystique où l’on côtoie les Dieux, Vivaldi, St Saëns, Delibes Bach viendront se mélanger à ces divagations pleines d’énergies vitales et de pensées spirituelles, insufflées par le mouvement de la danse.
Cléopâtre
Véritable voyage initiatique porté par des costumes flamboyants, le chorégraphe s'est emparé du mythe de celle qui a eu une vie exceptionnelle, devenue légendaire. Malgré la rareté des sources historiques, ses amours et sa fin tragique ont suscité la fascination et son histoire a très tôt inspiré les écrivains et les artistes.
Cléopâtre devient une figure iconographique majeure. Considérée tantôt comme une femme fatale, puissante et tentatrice, tantôt comme la victime de forces politiques qui la dépassent, voire comme une héroïne qui a préféré la mort plutôt que la soumission à son vainqueur, Cléopâtre est immortalisée par les artistes et s’inscrit dans l’imaginaire collectif.
Avec une partition musicale surprenante et une chorégraphie puissante, cette création chorégraphique portée par une troupe de danseurs issus des plus grandes troupes internationales en fera un des évènements majeurs dans le milieu chorégraphique de cette saison.
Cléopâtre devient une figure iconographique majeure. Considérée tantôt comme une femme fatale, puissante et tentatrice, tantôt comme la victime de forces politiques qui la dépassent, voire comme une héroïne qui a préféré la mort plutôt que la soumission à son vainqueur, Cléopâtre est immortalisée par les artistes et s’inscrit dans l’imaginaire collectif.
Avec une partition musicale surprenante et une chorégraphie puissante, cette création chorégraphique portée par une troupe de danseurs issus des plus grandes troupes internationales en fera un des évènements majeurs dans le milieu chorégraphique de cette saison.
Carmen
La Compagnie Chorégraphique François Mauduit raconte dans cette« Carmen » l’équilibre insaisissable d’une femme et le mystère de l’homme d’aujourd’hui. On retrouve les ingrédients qui font la force de ce chorégraphe: choix de musiques et montage sonore surprenant, théâtralité assumée, technique des danseurs, mise en lumière et créativité autour de l’histoire pourtant si connue. Comme bien souvent, l’art est précurseur face aux
idéologies politiques et sociales. Quoi de plus moderne que l’histoire de cette Carmen, femme libre et forte, indépendante et insolente face aux dictats que la société masculine semble lui insuffler? Composé en 1875, soit un siècle avant les événements de Mai 68 et l’émancipation des femmes, en écho avec leur combat d’aujourd’hui, Carmen de Bizet est d’une modernité éblouissante. En dépouillant parfois l’histoire de quelques couleurs espagnoles et folkloriques pour ne retenir que l’essentiel,
François Mauduit, ancien danseur de la compagnie de Maurice Béjart,
a souhaité ici faire éclore le rapport inversé entre l’homme et la femme, habituellement si
convenu dans de telles histoires passionnelles . Par ce Carmen, il a voulu traduire cette quête de la féminité qui tantôt se perd, tantôt renaît. Tels sont pour lui l’équilibre insaisissable d’une femme et le mystère de l’homme d’aujourd’hui.
idéologies politiques et sociales. Quoi de plus moderne que l’histoire de cette Carmen, femme libre et forte, indépendante et insolente face aux dictats que la société masculine semble lui insuffler? Composé en 1875, soit un siècle avant les événements de Mai 68 et l’émancipation des femmes, en écho avec leur combat d’aujourd’hui, Carmen de Bizet est d’une modernité éblouissante. En dépouillant parfois l’histoire de quelques couleurs espagnoles et folkloriques pour ne retenir que l’essentiel,
François Mauduit, ancien danseur de la compagnie de Maurice Béjart,
a souhaité ici faire éclore le rapport inversé entre l’homme et la femme, habituellement si
convenu dans de telles histoires passionnelles . Par ce Carmen, il a voulu traduire cette quête de la féminité qui tantôt se perd, tantôt renaît. Tels sont pour lui l’équilibre insaisissable d’une femme et le mystère de l’homme d’aujourd’hui.
The dancer(s)
Connaissez-vous la vraie vie du danseur ?
Connaissez-vous les rêveries d’un danseur ?
Connaissez vous la place du danseur dans la société, le chemin qu’il doit parcourir et le labyrinthe spirituel, sportif et magique qu’il traverse tout au long
de sa vie ?
Tiens ton dos, avance le bassin, sers le pied, tourne en dehors, ouvre tes omoplates, inspire par le nez, écoute la musique, enfonce tes talons, grandis toi, baisse les épaules, souffle par la
bouche, ne parle pas, fais parler tes doigts, maigris, souris, plexus en avant, côtes rentrées, travaille, lutte, recommence, arrête de pleurer et surtout... n'oublie pas de danser".
J’ai connu un professeur qui était loin d’être avare en corrections, remontrances humiliantes et
mots assassins ; il finissait toujours ces séances de blâmes par cette phrase: "Mais surtout, n’oublie pas de danser". Finalement, tout était dit.
Quelques années plus tard, j’entendis cette même phrase de la bouche de Maurice Béjart qui apporta au sens de ces quelques mots une dimension sacrée, passionnée et
profondément vitale.
Connaissez-vous les rêveries d’un danseur ?
Connaissez vous la place du danseur dans la société, le chemin qu’il doit parcourir et le labyrinthe spirituel, sportif et magique qu’il traverse tout au long
de sa vie ?
Tiens ton dos, avance le bassin, sers le pied, tourne en dehors, ouvre tes omoplates, inspire par le nez, écoute la musique, enfonce tes talons, grandis toi, baisse les épaules, souffle par la
bouche, ne parle pas, fais parler tes doigts, maigris, souris, plexus en avant, côtes rentrées, travaille, lutte, recommence, arrête de pleurer et surtout... n'oublie pas de danser".
J’ai connu un professeur qui était loin d’être avare en corrections, remontrances humiliantes et
mots assassins ; il finissait toujours ces séances de blâmes par cette phrase: "Mais surtout, n’oublie pas de danser". Finalement, tout était dit.
Quelques années plus tard, j’entendis cette même phrase de la bouche de Maurice Béjart qui apporta au sens de ces quelques mots une dimension sacrée, passionnée et
profondément vitale.
Pluie d'Etoiles Story
"Pluie d'Etoiles" célèbre le Ballet Classique du
chorégraphe Marius Petipa et les créations du
chorégraphe François Mauduit. Deux heures de
spectacle composé de grands pas classiques et de créations néo-classiques magistralement interprétées par 12 danseurs et solistes internationaux. Avec
comme chorégraphe invité François Mauduit, ex-soliste ballet Maurice Béjart.
Avec des œuvres du grand répertoire classique, telles
que : LE LAC DES CYGNES, CORSAIRE, DON QUICHOTTE, CASSE-NOISETTE et les créations du chorégraphe BOLERO, Samson et Dalila, Et
maintenant...
chorégraphe Marius Petipa et les créations du
chorégraphe François Mauduit. Deux heures de
spectacle composé de grands pas classiques et de créations néo-classiques magistralement interprétées par 12 danseurs et solistes internationaux. Avec
comme chorégraphe invité François Mauduit, ex-soliste ballet Maurice Béjart.
Avec des œuvres du grand répertoire classique, telles
que : LE LAC DES CYGNES, CORSAIRE, DON QUICHOTTE, CASSE-NOISETTE et les créations du chorégraphe BOLERO, Samson et Dalila, Et
maintenant...
Casse-noisette
TCHAIKOVSKY est un compositeur hors du commun à l’origine d’œuvres intemporelles, riches, modernes, classiques et toujours
contemporaines. « Casse-Noisette » est une de ses compositions les plus emblématiques. Il y est question d’un enfant qui rêve. Le rêve fait grandir l’enfant, fait espérer l’adolescent, fait s’évader l’adulte et adoucit la vieillesse… Dans son interprétation du conte, François MAUDUIT a choisi de prolonger le rêve afin de conserver l’âme magique de l’enfance et sa spontanéité. Les rêves deviennent alors réalité et les personnages vivent ainsi une vie toute différente…
contemporaines. « Casse-Noisette » est une de ses compositions les plus emblématiques. Il y est question d’un enfant qui rêve. Le rêve fait grandir l’enfant, fait espérer l’adolescent, fait s’évader l’adulte et adoucit la vieillesse… Dans son interprétation du conte, François MAUDUIT a choisi de prolonger le rêve afin de conserver l’âme magique de l’enfance et sa spontanéité. Les rêves deviennent alors réalité et les personnages vivent ainsi une vie toute différente…
Le Lac des Cygnes
La passion dévorante envers l'oeuvre de Tchaikovksy a conduit François Mauduit à créer sa propre version du «Lac des Cygnes» alliant les moments magiques de la version originale de Marius Petipa et une création chorégraphique subtile autour de la vie de Tchaïkovsky. Sur scène, les solistes internationaux de la compagnie issues de l'Opéra de Paris, de la Scala de Milan, du Ballet Béjart ou encore de l'Opéra de Bordeaux vous feront vivre avec passion et émotion cette création unique dans l'histoire de la compagnie qui, depuis 2016, tourne dans toute la France. La sublime musique de Tchaïkovsky, la magie du grand ballet classique et l'inventivité chorégraphique de cette production vous
plongeront dans l'univers magique de ce « Lac des cygnes », à la fois intemporel et surprenant.
plongeront dans l'univers magique de ce « Lac des cygnes », à la fois intemporel et surprenant.
Le Sacre du Printemps
Nijinski le fantastique, considéré comme le plus grand danseur du 20ème siècle, reste une flamme incandescente, qui survole les siècles.
A travers la folie créatrice et musicale de Stravinski et de son oeuvre emblématique, le chorégraphe rend un vibrant hommage à la grande période des "Ballets Diaghilev". Entre reprises de répertoire mais aussi création chorégraphique sur la vie de Niijnsky et de son journal, ce spectacle met en relief également les plus grands ballets controversés du XXIème siècle qui sont devenus
aujourd'hui des chefs d'œuvre. Le clown de Dieu qu'était Nijinski est une source inépuisable d'inspiration pour un chorégraphe du 21ème siècle.
A travers la folie créatrice et musicale de Stravinski et de son oeuvre emblématique, le chorégraphe rend un vibrant hommage à la grande période des "Ballets Diaghilev". Entre reprises de répertoire mais aussi création chorégraphique sur la vie de Niijnsky et de son journal, ce spectacle met en relief également les plus grands ballets controversés du XXIème siècle qui sont devenus
aujourd'hui des chefs d'œuvre. Le clown de Dieu qu'était Nijinski est une source inépuisable d'inspiration pour un chorégraphe du 21ème siècle.
Boléro
« Après avoir eu la chance d’interpréter de nombreuses fois la version de Maurice Béjart, François Mauduit s’est emparé du célébrissime Boléro de Ravel pour créer en 2015 sa propre version, qui allie les influences orientales de la musique, les couleurs suaves et espagnoles de son orchestration et l’exultation des corps si chère à l’énergie de la troupe ». (Télérama)
Roméo & Juliette
C’était comme une évidence pour l’ancien soliste de Maurice Béjart, formé à l’école de l’Opéra de Paris, de créer un ballet autour d’une histoire de grande envergure comme celle de Roméo et Juliette.
Parce que Roméo et Juliette, c’est nous, c’est vous, ce sont eux et pas toujours ceux qu’on croit.
Parce que Roméo et Juliette sont intemporels et que l’intolérance, toujours d’actualité, fera toujours naître de nouveaux amants maudits.
Parce que la force de ces histoires qui œuvrent pour l’universel est source de rencontres imaginaires et artistiques hors du commun.
Parce que le corps dansant, justement, ne souffre d’aucune époque, d’aucune frontière et est universel quel que soit notre origine, notre milieu social, notre religion, nos choix de vie, notre sexualité.
À ce chef d’œuvre de Shakespeare sont associées les plus belles partitions de Prokofiev et Berlioz, et les plus belles chansons de Jacques Brel, collaboration rendue possible grâce sa fille.
Parce que Roméo et Juliette, c’est nous, c’est vous, ce sont eux et pas toujours ceux qu’on croit.
Parce que Roméo et Juliette sont intemporels et que l’intolérance, toujours d’actualité, fera toujours naître de nouveaux amants maudits.
Parce que la force de ces histoires qui œuvrent pour l’universel est source de rencontres imaginaires et artistiques hors du commun.
Parce que le corps dansant, justement, ne souffre d’aucune époque, d’aucune frontière et est universel quel que soit notre origine, notre milieu social, notre religion, nos choix de vie, notre sexualité.
À ce chef d’œuvre de Shakespeare sont associées les plus belles partitions de Prokofiev et Berlioz, et les plus belles chansons de Jacques Brel, collaboration rendue possible grâce sa fille.
Dance side story
François Mauduit fait revivre les grandes heures de Broadway à travers la féérie new-yorkaise, la magnificence du music-hall et l’hommage rendu à ses
plus dignes ambassadeurs tels que GERSHWIN, SINATRA,
BALANCHINE ou encore Gene KELLY.
Au programme de cette soirée unique dans la vie de la compagnie, quatre créations de François MAUDUIT : « Stanger in the night », « Un Français à New York », « Miss R. for Mister B. » et « Split the space ».
plus dignes ambassadeurs tels que GERSHWIN, SINATRA,
BALANCHINE ou encore Gene KELLY.
Au programme de cette soirée unique dans la vie de la compagnie, quatre créations de François MAUDUIT : « Stanger in the night », « Un Français à New York », « Miss R. for Mister B. » et « Split the space ».
Madame Butterfly
Inspiré par le célèbre opéra de Puccini et par la figure intemporelle de Maria Callas, le chorégraphe vous propose une lecture à la fois intime et passionnante au cœur d’un Japon magnifié, où les histoires d’amour et l’onirisme asiatiques se mêlent. La grande partition de Puccini associée à des œuvres parfois plus contemporaines font de ce moment un ballet unique.
C’est l’histoire d’un jeune officier américain en escale, qui épouse une geisha de quinze ans, Cio-Cio-San (ce qui signifie en japonais « Madame Papillon »). Simple divertissement exotique pour lui, le mariage est pris très au sérieux par la jeune Japonaise...
C’est l’histoire d’un jeune officier américain en escale, qui épouse une geisha de quinze ans, Cio-Cio-San (ce qui signifie en japonais « Madame Papillon »). Simple divertissement exotique pour lui, le mariage est pris très au sérieux par la jeune Japonaise...
Quatre Saisons
L’ancien danseur de l’Opéra de Florence, du Ballet de l’Opéra de Bordeaux et du Béjart Ballet Lausanne s’entoure de seize prestigieux interprètes pour revisiter Les quatre saisons de Vivaldi et embrasser nos images collectives liées aux saisons. Car au-delà de cette œuvre baroque devenue un des tubes les plus joués au monde, le thème des saisons traverse notre mémoire à travers les mythes, les œuvres des plus grands peintres et autres créateurs prolifiques.
Les danseurs virtuoses personnifient toute une galerie de personnages imaginaires, exhalant ainsi toute la poésie, les rêveries et l’imaginaire que les saisons portent en elles. Au son des cordes qui traduisent somptueusement le chant des oiseaux, l’orage qui gronde, le bruissement du vent ou encore la lourdeur d’un été chaud, le ballet onirique de François Mauduit déploie des joyaux chorégraphiques multicolores et enchanteurs. Soli, duos et mouvements d’ensemble millimétrés nous emportent dans le tourbillon des quatre saisons.
Les danseurs virtuoses personnifient toute une galerie de personnages imaginaires, exhalant ainsi toute la poésie, les rêveries et l’imaginaire que les saisons portent en elles. Au son des cordes qui traduisent somptueusement le chant des oiseaux, l’orage qui gronde, le bruissement du vent ou encore la lourdeur d’un été chaud, le ballet onirique de François Mauduit déploie des joyaux chorégraphiques multicolores et enchanteurs. Soli, duos et mouvements d’ensemble millimétrés nous emportent dans le tourbillon des quatre saisons.
Chopin in love
Le nom de Chopin vient tout de suite à l’esprit quand on pense au piano, mais aussi au Paris de l’époque romantique. Sa liaison avec George Sand, sa rivalité musicale avec Liszt mise en scène par les facteurs de piano Pleyel et Erard, sa mort prématurée de la tuberculose à 39 ans, ont forgé sa légende. … Et puis un soir, après avoir travaillé sur des œuvres imposantes et exubérantes comme « Le Lac des cygnes », « Carmen » ou encore « Les quatre saisons », qui jalonnent maintenant le répertoire de la compagnie, je tombe sur une vidéo de Mickael Baryschnikov interprétant « Les Sylphides » avec Marianna Tcherkassy sur la sublime musique de Chopin. Le lendemain matin, l’alignement des étoiles vous fait découvrir cette citation de ce génie du romantisme : « La simplicité est la réussite absolue, Après avoir joué une grande quantité de notes, toujours plus de notes, c’est la simplicité qui émerge comme une récompense venant couronner l’art. Bach est un astronome qui découvre les plus merveilleuses étoiles. Beethoven se mesure à l’univers. Moi, je ne cherche qu’à exprimer l’âme et le cœur de l’Homme. » Plus que quatre pirouettes, plus qu’une technique ébouriffante, plus que des levés de jambes, soudain, vous revoyez Baryschnikov connu notamment pour son incroyable technique, se fondre dans le rôle d’un poète au service de la danse avec une sincérité étonnante et une simplicité désarmante, comme Chopin le fit avec la musique où il laissait libre cours à ses tourments, ses joies, ses peines et ses passions. Ouvrir cette quatorzième saison à travers l’œuvre et la vie de Chopin est aussi un symbole de la vie de la compagnie qui se veut en amour total -in love-, envers la danse, avec dévotion, sincérité, passion et toujours prêt à suivre l’inexplicable attraction de cet art du mouvement, au même titre que la musique de Chopin, connue de tous et pourtant à redécouvrir à chaque écoute.
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